Un travail (extra)ordinaire
octobre 2014
/Crédit photo : Marie-Louise Druez
« Quand je suis entré à la sucrerie de Genappe en 1964, on produisait un maximum de 2 000 tonnes de betteraves en 24 heures. Lorsque j’ai quitté la société en 1986, on en faisait 13 000 ! C’est vous dire la formidable évolution technique qui s’est produite pendant ces vingt années. (…) »
« L’industrie sucrière, vous ne vous rendez pas compte. Le sucre, pendant la guerre, c’était à peu près comme de l’or… »
Jean-Pierre Martens, ancien chef du service agronomique.
Propos recueillis auprès d’anciens travailleurs de la sucrerie dans le cadre de la récolte de témoignages entamée en 2012.